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Législative partielle à Paris : la ministre Clara Chappaz pressentie pour défier Dati et Barnier
Législative partielle à Paris : la ministre Clara Chappaz pressentie pour défier Dati et Barnier

Le Parisien

time16-07-2025

  • Politics
  • Le Parisien

Législative partielle à Paris : la ministre Clara Chappaz pressentie pour défier Dati et Barnier

La bataille de Paris est bel et bien partie dans la législative partielle prochainement prévue dans la 2e circonscription ! L'élection aura lieu au plus tard mi-octobre (la date n'est pas encore connue) pour désigner celle ou celui qui succédera au député macroniste sortant Jean Lassucq, déclaré inéligible par le Conseil constitutionnel à cause de mauvais comptes de campagne. Mais les ambitions s'aiguisent déjà et le combat fait particulièrement rage au sein du bloc central puisque après Michel Barnier, officiellement candidat depuis ce mardi, et Rachida Dati qui compte aussi y aller du côté de LR, c'est au tour de Renaissance d'avancer désormais ses pions. Selon nos informations, Gabriel Attal, le secrétaire général, devrait donner quitus à Clara Chappaz, l'actuelle ministre déléguée en charge de l'Intelligence artificielle et du Numérique, pour y aller. Parisienne pur jus, âgée de 36 ans et diplômée de l'Essec et de la Harvard business school, la fille de l'entrepreneur Pierre Chappaz devrait être investie dans les prochains jours par son parti. « Probablement à la fin juillet, une fois que la commission nationale d'investitures sera réunie », fait savoir une source interne. « Elle tient la corde pour la candidature Renaissance et devrait donc être notre candidate dans la circonscription », poursuit une autre. Clara Chappaz est entrée en politique récemment, en septembre 2024, lors du précédent gouvernement de Michel Barnier. Un profil « 100 % société civile », nous explique-t-on, qui est passé avant par plusieurs structures et entreprises liées à la tech' et le conseil en stratégie. Au risque de laisser les candidatures se démultiplier et laisser un boulevard à la gauche ? Ces dernières heures, en coulisses, des discussions ont pourtant eu lieu pour tenter d'aboutir sur un seul nom commun entre le parti présidentiel et les Républicains. « Mais en se déclarant sans prévenir personne, Michel Barnier a tout buté. Donc chacun reprend ses billes », raconte un élu fait des tractations. La bataille est lancée.

Contrôle de l'âge : Pornhub, Youporn et RedTube bloquent à nouveau les internautes français
Contrôle de l'âge : Pornhub, Youporn et RedTube bloquent à nouveau les internautes français

Le Figaro

time15-07-2025

  • Le Figaro

Contrôle de l'âge : Pornhub, Youporn et RedTube bloquent à nouveau les internautes français

Cette action intervient quelques heures après que le Conseil d'État a rétabli l'obligation pour les sites pornographiques accessibles depuis la France de vérifier l'âge de leurs visiteurs. Le combat des pouvoirs publics pour protéger les mineurs des sites pornographiques tourne à «Un jour sans fin». Alors que le gouvernement et l'Arcom ont obtenu mardi une victoire juridique devant le Conseil d'État, le groupe Aylo, leader du marché avec les plateformes Pornhub, Youporn et Redtube, a de nouveau décidé de fermer ses sites sur le territoire français. Une tactique qu'il avait déjà déployée en juin, avant de se raviser quelques jours plus tard. Le Conseil d'État a confirmé ce mardi que 17 sites pornographiques établis au sein de l'Union européenne ont bel et bien l'obligation de contrôler l'âge de leurs visiteurs - et de manière plus rigoureuse qu'une simple auto-déclaration de majorité - lorsque ses derniers tentent de s'y connecter. Publicité «Cette décision constitue une victoire décisive dans le combat mené par la ministre et ses prédécesseurs pour assurer la protection des mineurs en ligne. Chaque mois, selon les données de l'ARCOM, plus de deux millions de mineurs en France visitent des sites pornographiques», se félicitait le cabinet de la ministre déléguée au numérique Clara Chappaz, qui a fait de la vérification de l'âge sur les sites sensibles et les réseaux sociaux une de ses priorités. « La protection de nos enfants ne se monnaye pas. Le Conseil d'État et la Commission européenne nous donnent aujourd'hui raison : ce n'est pas à l'industrie pornographique de dicter ses règles, la loi s'applique à tous», déclare cette dernière. Pornhub conteste le bien-fondé de la loi Las, le groupe Aylo n'entend pas en rester là. Ses sites sont désormais barrés d'une Marianne sous le titre «La liberté a un bouton off, pour l'instant». «Le gouvernement français propose que nous vérifions votre âge à chaque fois que vous visitez notre site. La dure réalité : cette mesure ne protège pas les mineurs, elle met en péril la vie privée de chacun et met les enfants en danger, car elle conduit le trafic vers des milliers de sites qui contournent délibérément les réglementations, ne vérifient pas l'âge des participants dans les contenus et encouragent activement les utilisateurs à contourner la loi», se justifie le géant des vidéos pornographiques dans ce long message qui remplace ses contenus habituels. «Pour aller de l'avant, les législateurs doivent comprendre que les contenus pour adultes existent sur des centaines de milliers de plateformes, et pas seulement sur les 17 sites désignés dans l'arrêté ministériel, et qu'il faut s'attaquer à ce problème au moyen d'un dispositif d'application clair», poursuit-il. «Pour rendre l'internet plus sûr pour tout le monde, chaque téléphone, tablette ou ordinateur devrait commencer par être un appareil sécurisé pour les enfants. Seuls des adultes identifiés devraient être autorisés à déverrouiller l'accès à des contenus inappropriés pour l'âge. » Il est à parier que, comme en début juin, l'auto-blocage de Pornhub en France fera bondir le téléchargement de VPN, ces logiciels qui font croire que l'internaute se connecte depuis un autre pays que le sien.

Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application de vérification de l'âge en ligne
Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application de vérification de l'âge en ligne

Le Figaro

time14-07-2025

  • Le Figaro

Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application de vérification de l'âge en ligne

Les cinq premiers pays à franchir le pas - la France, le Danemark, la Grèce, l'Italie et l'Espagne - pourront utiliser ce prototype européen. Chaque État membre pourra l'ajuster en fonction de ses propres règles. Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application permettant de vérifier l'âge des utilisateurs en ligne et d'empêcher les enfants d'accéder à des contenus dangereux, a annoncé lundi la Commission européenne. «Ce dispositif permettra aux utilisateurs de prouver facilement qu'ils ont plus de 18 ans, ce qui protégera les enfants des contenus inappropriés», a expliqué Henna Virkkunen, commissaire européenne responsable des questions technologiques. Très concrètement, il s'agit d'un prototype européen que chaque État membre pourra ajuster en fonction de ses propres règles : par exemple selon qu'une interdiction est en vigueur sur internet pour les enfants de 12, 13 ou 15 ans etc. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech Les cinq premiers pays à franchir le pas sont la France, le Danemark, la Grèce, l'Italie et l'Espagne. Cette proposition était particulièrement poussée par la France, la ministre chargée du Numérique, Clara Chappaz, défendant une vérification de l'âge «au niveau européen» pour accéder aux réseaux sociaux. Début juin, le président français Emmanuel Macron s'est engagé à interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans en France si, «d'ici quelques mois», cela ne se faisait pas au niveau européen. Publicité «Les plateformes n'ont aucune excuse» L'Union européenne dispose d'un arsenal législatif parmi les plus stricts au monde pour encadrer les géants du numérique. Mais les appels à aller plus loin se multiplient parmi les Vingt-Sept, alors que des études démontrent les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé mentale et physique des jeunes. Lundi, la Commission européenne a également publié des recommandations à l'attention des réseaux sociaux pour les jeunes, pour permettre par exemple aux mineurs de bloquer plus facilement des utilisateurs. Ces mesures incluent également la suppression de fonctionnalités potentiellement addictives comme les «coches», qui indiquent qu'un message a été lu et peuvent pousser à attendre frénétiquement une réponse. «Il est primordial de veiller à ce que nos enfants et nos jeunes soient en sécurité en ligne», a déclaré la commissaire Henna Virkkunen. «Les plateformes n'ont aucune excuse pour poursuivre des pratiques qui mettent les enfants en danger», a-t-elle estimé. Bruxelles mène actuellement des enquêtes sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram du groupe américain Meta, ainsi que sur TikTok, dans le cadre de son nouveau Règlement sur les services numériques (DSA). Ces plateformes sont soupçonnées de ne pas suffisamment protéger les enfants des contenus nuisibles. Fin mai, la Commission a également ouvert une enquête sur quatre sites pornographiques (Pornhub, Stripchat, XNXX, et XVideos) soupçonnés de ne pas empêcher l'accès des enfants aux contenus pour adultes.

Protection des mineurs : la France et quatre pays européens vont tester une application de vérification de l'âge en ligne
Protection des mineurs : la France et quatre pays européens vont tester une application de vérification de l'âge en ligne

Le Parisien

time14-07-2025

  • Le Parisien

Protection des mineurs : la France et quatre pays européens vont tester une application de vérification de l'âge en ligne

Comment mieux protéger les enfants des réseaux sociaux ? Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application permettant de vérifier l'âge des utilisateurs en ligne et d'empêcher les plus jeunes d'accéder à des contenus dangereux, a annoncé lundi la Commission européenne. « Ce dispositif permettra aux utilisateurs de prouver facilement qu'ils ont plus de 18 ans, ce qui protégera les enfants des contenus inappropriés », a expliqué Henna Virkkunen, commissaire européenne responsable des questions technologiques. Très concrètement, il s'agit d'un prototype européen que chaque État membre pourra ajuster en fonction de ses propres règles : par exemple selon qu'une interdiction est en vigueur sur Internet pour les enfants de 12, 13 ou 15 ans etc. Les cinq premiers pays à franchir le pas sont la France, le Danemark, la Grèce, l'Italie et l'Espagne. Cette proposition était particulièrement poussée par la France, la ministre chargée du Numérique, Clara Chappaz , défendant une vérification de l'âge « au niveau européen » pour accéder aux réseaux sociaux. Début juin, le président français Emmanuel Macron s'est engagé à interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans en France si, « d'ici quelques mois », cela ne se faisait pas au niveau européen. L'Union européenne dispose d'un arsenal législatif parmi les plus stricts au monde pour encadrer les géants du numérique. Mais les appels à aller plus loin se multiplient parmi les Vingt-Sept, alors que des études démontrent les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé mentale et physique des jeunes. Lundi, la Commission européenne a également publié des recommandations à l'attention des réseaux sociaux pour les jeunes, pour permettre par exemple aux mineurs de bloquer plus facilement des utilisateurs. Ces mesures incluent également la suppression de fonctionnalités potentiellement addictives comme les « coches », qui indiquent qu'un message a été lu et peuvent pousser à attendre frénétiquement une réponse. « Il est primordial de veiller à ce que nos enfants et nos jeunes soient en sécurité en ligne », a déclaré la commissaire Henna Virkkunen. « Les plates-formes n'ont aucune excuse pour poursuivre des pratiques qui mettent les enfants en danger », a-t-elle estimé. Bruxelles mène actuellement des enquêtes sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram du groupe américain Meta, ainsi que sur TikTok , dans le cadre de son nouveau Règlement sur les services numériques (DSA). Ces plates-formes sont soupçonnées de ne pas suffisamment protéger les enfants des contenus nuisibles. Fin mai, la Commission a également ouvert une enquête sur quatre sites pornographiques (Pornhub, Stripchat, XNXX, et XVideos) soupçonnés de ne pas empêcher l'accès des enfants aux contenus pour adultes.

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